Les stéréotypes de genre dans les publicités télévisuelles dans les médias belges francophones représentent la thématique du travail de recherche de notre groupe. Concrètement, la problématique de notre projet est la suivante : Comment les médias télévisuels francophones belges traitent-ils, en 2018, des stéréotypes de genre à travers la publicité ?

Pour décrire de façon brève, afin de mener à bien notre travail de recherche, nous avons du définir deux grandes taches. La première consiste à suivre et regarder les publicités diffusées tout au long de la journée dans les différentes chaines de télévisions privées ou publiques francophones du pays (plus précisément 3). La deuxième tache, quant à elle, consiste à mener des entretiens semi-directifs avec les responsables de la diffusion de ces publicités afin de pouvoir connaître leurs discours et position officielle. Dans ce billet personnel j’écrirais sur mes impressions et difficultés auxquelles j’ai du faire face.

Tout d’abord, comme chez d’autres membres de mon groupe, il fallait s’adapter et développer le reflexe d’allumer une télévision et voir les publicités diffusées à différents moments de la journée. Bien que cela puisse sembler un simple geste facile à faire, c’est la répétition de ce même geste qui requiert un certain effort pour une personne comme moi, qui en temps normal ne regarde pas assez souvent la télévision. En plus de cela, je ne dispose pas de téléviseur chez moi, ce qui me contraignait à rester tout le temps devant l’écran de mon ordinateur portable.

Etant étudiant étranger et n’ayant jamais habité en Belgique auparavant, je dois reconnaître que je ne connaissais absolument rien au paysage médiatique belge en général, je n’arrivais pas à m’y retrouver au début, même avec les choses les plus simple comme par exemple les noms et acronymes des chaînes de télévision. Au fil du temps et avec l’avancement du travail, c’est devenu plus clair, mais je suis encore loin de tout connaître.

Un autre élément qui me semble important d’en parler est la motivation en général. Pour être franc, j’ai du passer plusieurs fois par des moments où la motivation me manquait. Plusieurs facteurs sont responsables, parmi eux ceux que j’ai cité avant, comme le fait de ne rien connaître au paysage médiatique (et donc me perdre parfois dans les conversations du groupe de travail) ou tout simplement les difficultés techniques comme lorsque je devais voir les publicités, je ne pouvais rien faire d’autre en parallèle puisque j’utilisais mon ordinateur. Tout ceci, plus d’autres problèmes personnels en dehors du travail de groupe ont fait en sorte que je

me demande plus d’une fois si j’étais assez motivé et capable de suivre le travail du groupe en contribuant de façon efficace.

Toutefois, pour terminer sur une note positive, malgré mes difficultés au niveau individuel et celle qu’on a eue au niveau du groupe dont le silence comme réponses de certaines personnes contactées pour des entretiens, nous avons su avancer dans notre travail à bon rythme et avons concrété plusieurs aspects du travail.