La prise de contact avec les établissements scolaires d’Uccle, billet individuel M.Solal
Notre groupe prépare une étude sur l’identité des français d’Uccle. Pour la mener à bien, nous comptons faire passer des questionnaires à des élèves français, à la fois dans le lycée français et dans les écoles belges d’Uccle, afin de donner une dimension comparative à notre travail.
La prise de contact s’est avérée simple et rapide avec le lycée français. Les parents de l’un des membres du groupe ayant effectué leurs scolarités dans cet établissement, nous avons pu être mis en relation avec le président de l’association des anciens élèves. Ce dernier a fait état de notre projet à la directrice du lycée qui a réagi avec un certain enthousiasme. Elle a toutefois formulé un certain nombre de remarques et de propositions de modifications après avoir pris connaissance des questions que nous souhaitons poser à ses élèves. La prochaine étape sera donc celle de la négociation autour du contenu du questionnaire. Nous avons déjà préparé en groupe notre stratégie. Nous avons défini les points sur lesquels nous pouvions accéder à ses demandes et ceux sur lesquels nous voulions garder notre questionnaire en l’état.
La tâche s’annonçait plus ardue pour les autres établissements scolaires. N’ayant aucun moyen d’être coopté auprès des écoles belges d’Uccle, nous nous sommes pour l’instant heurté au silence total des 9 écoles auxquelles nous nous sommes adressés par e-mail. Nous sommes toutefois décidés à ne pas nous laisser abattre, et nous reprendrons nos tentatives de prise de contact dès le lundi 17 avril, date de la fin des vacances scolaires belges.
Nous gardons toutefois à l’esprit la possibilité d’astreindre notre étude au lycée français d’Uccle si d’aventure nous n’obtenions pas les réponses positives d’un nombre suffisant d’écoles belges. Retirer la dimension comparative de notre travail serait certes dommage, mais ne priverait pas notre travail de son intérêt.
Mathieu Solal
Groupe 9