Notre sujet de recherche porte sur les représentations du conflit israélo-palestinien parmi les étudiants science politique à l’ULB.

Notre méthode d’enquête principale est un débat de groupe dans le cadre de la méthode de recherche « focus group ». Ceci nous permettra pas seulement d’obtenir le point de vue individuel des participants du conflit mais également d’examiner comment ces représentations personnelles sont formées au tours du débat sur le conflit en Moyen-Orient.

Pour préparer ce débat nous avons diffusé un questionnaire numérique nous permettant de recruter des profils divers. Nous avons déjà, à ce stade, répertorié un nombre important de réponses positives.  Ce que nous a permis de sélectionner 9 candidats potentiels pour le débat. Nous envisageons de mener le débat avec 5 ou 6 candidats mais nous avons décidé de contacter 3 candidats de plus car nous estimons qu’il peut probable que tous les invités seront disponibles pendant le même créneaux. À présent il nous faut encore s’accorder sur un horaire convenant à chacun et préparer, de manière approfondie, le déroulement de la discussion de groupe.

En évaluent les réponses de tous les personnes interrogés et de ces neufs candidats je me suis rendu compte que la majorité des personnes interrogées par questionnaire se sont positionné soit en faveur de la cause palestinienne (plus qu’un tiers), soit ils ont exprimé un avis modéré (environ un tiers) qui critique également le comportement des acteurs israéliens et palestiniens. Mais, à présent, très peu des personnes interrogées (moins que 5%) se sont positionnés manifestement en faveur de la cause israéliennes. Ces résultats provisoires ont été obtenu à travers des questions sur des événements récentes liés au conflit comme par exemple les hostilités dans la bande de Gaza ou le déplacement de l’ambassade américain à Jérusalem.

Ce fait est intéressant mais il représenterai éventuel un risque pour le succès de notre enquête car je peux imaginer que les deux représentations majoritaires risquent de dominer le débat.  Dans ce cas la minorité pro israélienne n’osera peut être pas de s’exprimer face à une majorité plutôt critique.

Évidemment, ce sera notre responsabilité d’assurer un débat équilibré dans lequel tous les participants peuvent s’exprimer de manière égal. Eventuellement, il faudra encourage les partisans d’avis minoritaires, de s’exprimer d’avantage pour éviter un débat trop homogène. De plus, nous avons fait des efforts de sélectionner un nombre des débatteurs égal en fonction de leur représentation.

Néanmoins, il est notre devoir de démontrer les représentations existants à travers de notre enquête et en conséquence inviter des débatteurs représentatifs. En conséquence, s’l y aura un ou deux avis dominants parmi les étudiants, notre recherche devrait démontrer ce fait

Le fait de trouver ces deux représentations dominantes pourrait être expliqué à travers du contexte social et politique dans lequel se trouvent les étudiants à ULB. Nous trouvons par exemple, des nombreux cercles étudiants qui militent pour la cause palestinienne, en faveurs des droits humaines ou qui se présentent politiquement majoritairement à gauche.

Finalement, il faudra également prendre en considération la possibilité que notre questionnaire nous n’a pas permis de prédéterminer correctement les représentations des personnes interrogés. Le questionnaire pose des questions sur certains sujets d’actualité liés au conflit pour deviner l’avis des participants, celui n’exclure pas que la personne interrogée ait un avis différent sur le conflit en général. Par exemple, il est possible d’avoir un avis critique du comportement des forces israéliens dans la bande de Gaza mais d’être un partisan de la cause israélienne.